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Qui suis-je

En 2007, j’ai entrepris un voyage au long cours de 11 mois. Je cherchais une façon originale de voyager, loin des sentiers battus et en accord avec mes convictions, notamment en matière de protection de l’environnement.
C’est alors que je découvris l’écovolontariat, à savoir la possibilité de s’engager grâce à des associations de protection de l’environnement.
Des associations donnent, en effet, la possibilité de s’investir, pour des périodes s’étalant d’un jour à plusieurs mois, en France ou à l’étranger, dans différents projets liés à la protection de la planète.

Après de nombreuses recherches, j’ai sélectionné 5 missions d’écovolontariat différentes : Sauvegarde des tortues d’Hermann au village de Gonfaron, protection du vautour fauve sur l’île de Cres en Croatie, volontariat dans un centre d’accueil d’animaux sauvages en Floride, protection de la mangrove et des iguanes au Honduras, chantiers au CVA en Australie.
Ces missions ont donné lieu à un projet pédagogique avec trois classes de primaire avec qui j’échangeais régulièrement.

La création de Cap sur l’écovolontariat

De retour en France et forte d’une année très riche en expérience, j’ai décidé de créer un site internet sur l’écovolontariat : Cap sur l’écovolontariat. C’était une façon de partager mon expérience et de donner la possibilité à d’autres voyageurs de vivre ce que j’avais vécu. Je dois dire que le succès du site est allé au-delà de mes espérances ! Je suis devenue la blogueuse de référence dans l’écovolontariat.
Depuis, j’ai écris le Guide de L’écovolontariat, participé à la charte sur l’écovolontariat et tissé de nombreux liens avec des associations.
Grâce à la confiance qui lie les différents acteurs de l’écovolontariat et Cap sur l’Ecovolontariat, j’ai créé une plateforme avec une sélection de missions dont l’action sur le terrain est sérieuse. L’idée de cette plateforme est de faciliter la recherche de missions d’écovolontariat fiables et de gagner du temps. Elle vous permet d’entrer directement et très simplement en contact avec avec des organismes qui vous permettent de vous engager pour la préservation de la biosdiversité.

L’écovolontariat est-il le voyage du Monde d’après ?

Comme beaucoup d’entre vous sans doute, la crise du coronavirus, la sixième extinction de masse et le réchauffement climatique me bouleversent. Plus le monde change, plus la certitude de devoir créer un monde plus écologique et solidaire se renforce. Comment voyager tout en diminuant son emprunte carbone ? Comment éviter la dégradation des milieux naturels liée au tourisme de masse ? Comment protéger la biodiversité tout en gardant le plaisir d’observer les animaux sauvages ? Comment s’engager comme bénévole dans un association de préservation de l’environnement sans se substituer aux emplois sur place ?
Je vois dans l’écovolontariat la possibilité de résoudre ces équations. Comme l’explique cet article du site internet L’ADN, l’écovolontariat s’inspire de la nouvelle économie et est en phase totale avec le monde d’après.